Un troll...
Gros, puant, laid et bête...un troll.
La dernière fois que j'avais eu affaire à un troll il m'avait arracher le bras et avait massacrer 5 tueurs avant de trépasser...
Et voila qu'un autre de ces monstres se trouvait devant moi...bien que dans mes souvenirs le premier avait trois bras et deux têtes mais il restait un troll. Et j'en avais un sous le nez...
Je remarquais à peine que Salerakai me laissai sa place pour combattre le monstre. Et ce dernier avançait vers moi...
Les souvenirs du combats contre le premier troll me revenait et ils emmenaient avec eux d'autres souvenirs plus anciens. Des souvenirs qui ne devaient pas être oublié mais qui ne demandaient qu'à rester dans leur coin du cerveau.
La hachette...le sang...son père...
Ce n'est que lorsque le Nippon glissa et tomba à l'eau dans un grand plouf que je sortit un peu de ma rêverie. Mais toujours plonger dans mes souvenirs je ne comprennais plus rien. Salrakai me beugla : Qu’est c’tu fous Grank ?
-Bin y a Alentar qui vient de tomber à l’eau
Encore désorienté le troll m'attrapa et commença à ouvrir la gueule. Mais je restais dans mes souvenirs , L'homme en noire !
L'haleine du troll me remit dans la réalité, enfin partiellement car devant la gueule pleine de crocs du monstre il n'y avait plus de tueur prêt à lui coller un bon coups de bras mécanique dans la tronche et lui arracher une dent et de la lui planter dans la gorge, il y avait le jeune fils de brasseur de Karaz-a-Karak et il réagit comme tel:
Mais qu’est ce que t’attends pour m’aider ? hurlai-je à Salrakai.
Alors l'autre tueur chargea, le voir ainsi foncer sur le danger me remit les idées en place mais avant que j'ai pu coller un coups de boule à la bête celle-ci me jeta avec violence.
Fort heureusement je retombai sur mon bras gauche et c'est lui qui encaissa toute le choc.
Je m'assis pour regarder. Salrakai s'attaqua à la jambe du troll et réussit à la couper mais le monstre n'avait pas apprécié et en tombant frappa le jeunot qui parti dix mètres en arrière poursuivit par un troll rampant. Mais Zorckal et Alentar le chargèrent tandis que Salerakai se relevait.
J'aurai voulut leur crier de ne pas toucher au troll mais une douleur fulgurante me traversa l'épaule gauche quand je me relevait et je retombai au sol en me tenant le bras là ou la machine et le moignon ne faisait plus qu'un, sentant la chaleur que dégageait la machine.
En relevant la tête vers le combat je ne pus voire que le semi-ogre qui tranchait celle du troll et Salrakai qui le chargeait.
Pendant que le jeunot se disputait avec le géant je m'approchai d'une mare et plongea mon bras dedans, repensant à l'homme en noire.
Comment avais-je pu l'oublier ? Comment avais-je pu oublier ça !? Il y avait de la magie là dessous car si il y avait une chose qu'un tueur n'oubliai pas c'était pourquoi il était devenu ce qu'il était et tout ce qui s'y rapportait.
De la vapeur s'échappait de l'eau ou j'avais plongé mon bras "déganté". Bien entendu cela attira l'attention de mes compagnons enfin surtout du monstre, le Nippon discutant avec la petite fille et l'autre tueur me jugant indigne d’intérêt. J'ai le double de ton age et tu me juges jeunot ! Grumbaka ! Bon c'est vrai que c'était pas une attitude de tueur mais le respect des aînés ...
Après avoir fait comprendre au semi-ogre que tout allait bien et après avoir remit mon gant de cuir, nous repartîmes vers la chaumière. Mais je ne regardai pas ce qui se passait autour de moi. J'avais pris la crête et la hache pour un crime dont je n'était peut être pas coupable...
Voila qui remettait tout en question et je décidai de laisser mes "amis" là et de retourner penser à ça avec une chope de bière en main. Ensuite je devrai que je retourne à Karak-Kadrin pour en parler avec Harek, un prêtre de Grimnir qui m'étais très sympathique.
Et c'est ainsi que je repartis seul vers Schonfeld en repensant à cet homme en noire et aux paroles de mon aîné, Lorbor :
" Si tu veux mourir, pends-toi, crois tu réellement que Grinmir notre Ancêtre est allé se perdre dans les désolations pour gaiement tuer des monstres ? Il s'est sacrifié pour sauver son peuple, voilà pourquoi nous, Tueurs, nous menons cette vie, nous nous sacrifions dans l'optique où chaque créature que nous passons au fil de nos haches ne viennent jamais nuire à l'un de nos frêres."
C'est ainsi que se termine mon résumé du scénario Le Glubglub.
Merci à Bonoarpha, Damien, Zorckal et surtout merci à Jon le MJ pour ce super scenar.
Gros, puant, laid et bête...un troll.
La dernière fois que j'avais eu affaire à un troll il m'avait arracher le bras et avait massacrer 5 tueurs avant de trépasser...
Et voila qu'un autre de ces monstres se trouvait devant moi...bien que dans mes souvenirs le premier avait trois bras et deux têtes mais il restait un troll. Et j'en avais un sous le nez...
Je remarquais à peine que Salerakai me laissai sa place pour combattre le monstre. Et ce dernier avançait vers moi...
Les souvenirs du combats contre le premier troll me revenait et ils emmenaient avec eux d'autres souvenirs plus anciens. Des souvenirs qui ne devaient pas être oublié mais qui ne demandaient qu'à rester dans leur coin du cerveau.
La hachette...le sang...son père...
Ce n'est que lorsque le Nippon glissa et tomba à l'eau dans un grand plouf que je sortit un peu de ma rêverie. Mais toujours plonger dans mes souvenirs je ne comprennais plus rien. Salrakai me beugla : Qu’est c’tu fous Grank ?
-Bin y a Alentar qui vient de tomber à l’eau
Encore désorienté le troll m'attrapa et commença à ouvrir la gueule. Mais je restais dans mes souvenirs , L'homme en noire !
L'haleine du troll me remit dans la réalité, enfin partiellement car devant la gueule pleine de crocs du monstre il n'y avait plus de tueur prêt à lui coller un bon coups de bras mécanique dans la tronche et lui arracher une dent et de la lui planter dans la gorge, il y avait le jeune fils de brasseur de Karaz-a-Karak et il réagit comme tel:
Mais qu’est ce que t’attends pour m’aider ? hurlai-je à Salrakai.
Alors l'autre tueur chargea, le voir ainsi foncer sur le danger me remit les idées en place mais avant que j'ai pu coller un coups de boule à la bête celle-ci me jeta avec violence.
Fort heureusement je retombai sur mon bras gauche et c'est lui qui encaissa toute le choc.
Je m'assis pour regarder. Salrakai s'attaqua à la jambe du troll et réussit à la couper mais le monstre n'avait pas apprécié et en tombant frappa le jeunot qui parti dix mètres en arrière poursuivit par un troll rampant. Mais Zorckal et Alentar le chargèrent tandis que Salerakai se relevait.
J'aurai voulut leur crier de ne pas toucher au troll mais une douleur fulgurante me traversa l'épaule gauche quand je me relevait et je retombai au sol en me tenant le bras là ou la machine et le moignon ne faisait plus qu'un, sentant la chaleur que dégageait la machine.
En relevant la tête vers le combat je ne pus voire que le semi-ogre qui tranchait celle du troll et Salrakai qui le chargeait.
Pendant que le jeunot se disputait avec le géant je m'approchai d'une mare et plongea mon bras dedans, repensant à l'homme en noire.
Comment avais-je pu l'oublier ? Comment avais-je pu oublier ça !? Il y avait de la magie là dessous car si il y avait une chose qu'un tueur n'oubliai pas c'était pourquoi il était devenu ce qu'il était et tout ce qui s'y rapportait.
De la vapeur s'échappait de l'eau ou j'avais plongé mon bras "déganté". Bien entendu cela attira l'attention de mes compagnons enfin surtout du monstre, le Nippon discutant avec la petite fille et l'autre tueur me jugant indigne d’intérêt. J'ai le double de ton age et tu me juges jeunot ! Grumbaka ! Bon c'est vrai que c'était pas une attitude de tueur mais le respect des aînés ...
Après avoir fait comprendre au semi-ogre que tout allait bien et après avoir remit mon gant de cuir, nous repartîmes vers la chaumière. Mais je ne regardai pas ce qui se passait autour de moi. J'avais pris la crête et la hache pour un crime dont je n'était peut être pas coupable...
Voila qui remettait tout en question et je décidai de laisser mes "amis" là et de retourner penser à ça avec une chope de bière en main. Ensuite je devrai que je retourne à Karak-Kadrin pour en parler avec Harek, un prêtre de Grimnir qui m'étais très sympathique.
Et c'est ainsi que je repartis seul vers Schonfeld en repensant à cet homme en noire et aux paroles de mon aîné, Lorbor :
" Si tu veux mourir, pends-toi, crois tu réellement que Grinmir notre Ancêtre est allé se perdre dans les désolations pour gaiement tuer des monstres ? Il s'est sacrifié pour sauver son peuple, voilà pourquoi nous, Tueurs, nous menons cette vie, nous nous sacrifions dans l'optique où chaque créature que nous passons au fil de nos haches ne viennent jamais nuire à l'un de nos frêres."
C'est ainsi que se termine mon résumé du scénario Le Glubglub.
Merci à Bonoarpha, Damien, Zorckal et surtout merci à Jon le MJ pour ce super scenar.