Description donné par la biographie :
« Cet objet a une forme associant la sécurité à l’infinité. Seul un artisan ayant de solides connaissances mathématiques pouvait le concevoir car son pouvoir ne réside pas dans la magie, mais dans sa proximité avec l’une des constantes mathématiques. Bien entendu, cette constante pouvait être à tout moment rompue par la nature chaotique du dieu du changement.
Cet objet, n’étant pas infaillible, pouvait être renforcé avec l’un des quatre autres objets. »
Description du lieu de fabrication :
« La nature même de l’objet devait empêcher sa création dans des lieux soumis à la trop grande influence du chaos. Il fut donc décidé de la fabriquer dans une région située à la frontière du chaos. L’artisan, devant se trouver dans un lieu calme afin de pouvoir faire ses calculs tranquillement, je suppose donc que l’on peut éviter les frontières trop souvent soumises aux guerres, à savoir celles du nord. Ma première intuition fut donc les frontières de l’est. Après en avoir sillonné une partie, la dangerosité des montagnes soumises aux attaques de gobelins et orques me firent changer de stratégies. Alors, je décidais de recourir à des informateurs que je payais grassement. Ils allèrent enquêter auprès des nains. Peut-être qu’eux avaient plus ou moins vu l’existence d’un atelier secret aux frontières de ces lieux.
Finalement la recherche fut plus ou moins couronnée de succès, mais je suis trop vieux et pauvre aujourd’hui pour continuer. J’espère qu’une personne s’y rendra pour vérifier. L’un des informateurs revint récemment, et m’expliqua qu’il avait rencontré un nain dans un bar qui venait de perdre l’un de ses amis. Son ami était parti à la recherche de la femme de l’un de ses collègues, qui avait disparu dans la mine où elle travaillait. Ils avaient formé un groupe de quatre mineurs ayant pour seule arme, leur pioche. Ils s’attendaient à tomber sur des orques, gobelins ou peut-être skavens. La vermine habituelle. Une fois lancée à sa recherche, ils allèrent d’abord dans l’artère où elle travaillait. Ils virent alors qu’un pan de la paroi s’était écroulé, donnant ainsi passage sur ce qui semblait être une immense ancienne route naine. Rapidement, ils s’aperçurent qu’il y avait des traces de sang sur le sol. Ils les suivirent le plus rapidement et discrètement possible. Ils marchèrent pendant des heures à ce rythme. Ils furent néanmoins stoppés par le fait qu’une partie de la voie était immergée, inondée par une grande rivière souterraine. Etrangement, ils virent des barques accostées. La piste avait quant à elle, disparue. Une partie des nains décidèrent d’abandonner. Il valait mieux, pour eux, aller chercher des renforts. Ainsi ils se divisèrent en deux groupes : un pour continuer la recherche en espérant retrouver une trace fraîche, et le second pour aller chercher des renforts. L’ami fit parti du premier groupe. Ils prirent une barque et continuèrent le chemin. Du groupe, il fut le seul qui revint, blessé et à moitié fou. Ce fut le groupe des renforts qui le retrouva quelques jours plus tard, à côté d’une cascade souterraine. Il criait aux renforts de rebrousser chemin et de détruire le passage. Hésitant un moment, les renforts acceptèrent d’obéir quand il affirma avoir vu les naines mortes, et tous ses compagnons (l’autre groupe) tués par une créature tentaculaire vivant sous la terre.
Le médecin, à la vu des blessures du nain, confirma ses dires à cause de la nature étrange de ses plaies. Alors, ils ramenèrent le survivant. Lors du trajet de retour, il racontait sans cesse qu’il avait vu un lieu ouvert sur le ciel, vierge de toute présence elfique et naine depuis des millénaires. Un lieu coincé entre les montagnes, où se trouvait un lac et une forêt dense. On lui demanda si c’était cette créature qui avait tué les naines. Il répondit que non. Il les avait vus dans une tour dissimulée dans l’une des parois de la montagne. Une difformité y vivait, et se repaissait de leur chair quand ils arrivèrent. Ils l’avaient alors attaqué, mais il était trop fort pour eux. Aucun de leurs coups ne l’atteignait. Alors ils fuirent, quand ils virent que des gobelinoïdes arrivaient en renfort. Mais ils arrivèrent à s’enfuir avec juste des blessures légères. Mais sur le chemin du retour, ils se trouvèrent confronter à la créature tentaculaire. Il fut le seul à y échapper. Une fois revenu sur le lieu de l’éboulement, le nain s’agita à tel point que les renforts durent reboucher le passage comme il l’avait exigé afin qu’il se calme. Puis, dans sa folie, ils leur firent jurer à tous qu’ils n’y retourneraient pas, et feraient écrouler cette artère. De même, Ils devraient garder ceci secret à tout jamais. Tous jurèrent. Pour la première fois apaisée, le nain mourut le sourire aux lèvres. Sa peur démentielle l’avait maintenu en vie pour empêcher quiconque d’y aller. Par respect pour leur ancien ami et pour faire honneur à leur race, ils obéirent aux dernières volontés du mourant, en espérant toutefois que ce secret ne porterait pas préjudice aux autres nains.
Le nain qui avait raconté cette histoire à mon informateur, venait de voir mourir le dernier nain faisant partie de la troupe des renforts. Il était le dernier à être soumis aux secrets. Il voulait que les autres mineurs nains soient au courant du danger avant qu’il ne disparaisse. C’est pour cela (et aussi avec l’aide de l’alcool) qu’il avait raconté cette histoire à un étranger humain. Car il n’avait pas l’impression de trahir le secret, et il apaisait également sa conscience. En effet, cela faisait tant d’année qu’il écoutait les rumeurs concernant les mines, de peur que la créature surgisse. Ainsi, il aspirait secrètement à ce que l’un des renforts nains trahisse le secret, ce qui lui permettrait de le soulager d’une angoisse quotidienne. Malheureusement, tous avait tenu parole.
J’accorde une grande importance à cette histoire car, comme je l’ai dit précédemment, je n’ai plus les moyens de vérifier les liens avec l’objet d’Aekold. De plus, une tour où vit une créature difforme capable de tenir en respect les orques et les gobelins montrent que ces créatures gobelinoïdes avaient tout intérêt à garder cette créature vivante. C’était peut-être un artisan. Enfin, bon comme je l’ai déjà écrit, à ce jour, c’est le seul indice que j’ai. »
J'attends vos hypothèses.
« Cet objet a une forme associant la sécurité à l’infinité. Seul un artisan ayant de solides connaissances mathématiques pouvait le concevoir car son pouvoir ne réside pas dans la magie, mais dans sa proximité avec l’une des constantes mathématiques. Bien entendu, cette constante pouvait être à tout moment rompue par la nature chaotique du dieu du changement.
Cet objet, n’étant pas infaillible, pouvait être renforcé avec l’un des quatre autres objets. »
Description du lieu de fabrication :
« La nature même de l’objet devait empêcher sa création dans des lieux soumis à la trop grande influence du chaos. Il fut donc décidé de la fabriquer dans une région située à la frontière du chaos. L’artisan, devant se trouver dans un lieu calme afin de pouvoir faire ses calculs tranquillement, je suppose donc que l’on peut éviter les frontières trop souvent soumises aux guerres, à savoir celles du nord. Ma première intuition fut donc les frontières de l’est. Après en avoir sillonné une partie, la dangerosité des montagnes soumises aux attaques de gobelins et orques me firent changer de stratégies. Alors, je décidais de recourir à des informateurs que je payais grassement. Ils allèrent enquêter auprès des nains. Peut-être qu’eux avaient plus ou moins vu l’existence d’un atelier secret aux frontières de ces lieux.
Finalement la recherche fut plus ou moins couronnée de succès, mais je suis trop vieux et pauvre aujourd’hui pour continuer. J’espère qu’une personne s’y rendra pour vérifier. L’un des informateurs revint récemment, et m’expliqua qu’il avait rencontré un nain dans un bar qui venait de perdre l’un de ses amis. Son ami était parti à la recherche de la femme de l’un de ses collègues, qui avait disparu dans la mine où elle travaillait. Ils avaient formé un groupe de quatre mineurs ayant pour seule arme, leur pioche. Ils s’attendaient à tomber sur des orques, gobelins ou peut-être skavens. La vermine habituelle. Une fois lancée à sa recherche, ils allèrent d’abord dans l’artère où elle travaillait. Ils virent alors qu’un pan de la paroi s’était écroulé, donnant ainsi passage sur ce qui semblait être une immense ancienne route naine. Rapidement, ils s’aperçurent qu’il y avait des traces de sang sur le sol. Ils les suivirent le plus rapidement et discrètement possible. Ils marchèrent pendant des heures à ce rythme. Ils furent néanmoins stoppés par le fait qu’une partie de la voie était immergée, inondée par une grande rivière souterraine. Etrangement, ils virent des barques accostées. La piste avait quant à elle, disparue. Une partie des nains décidèrent d’abandonner. Il valait mieux, pour eux, aller chercher des renforts. Ainsi ils se divisèrent en deux groupes : un pour continuer la recherche en espérant retrouver une trace fraîche, et le second pour aller chercher des renforts. L’ami fit parti du premier groupe. Ils prirent une barque et continuèrent le chemin. Du groupe, il fut le seul qui revint, blessé et à moitié fou. Ce fut le groupe des renforts qui le retrouva quelques jours plus tard, à côté d’une cascade souterraine. Il criait aux renforts de rebrousser chemin et de détruire le passage. Hésitant un moment, les renforts acceptèrent d’obéir quand il affirma avoir vu les naines mortes, et tous ses compagnons (l’autre groupe) tués par une créature tentaculaire vivant sous la terre.
Le médecin, à la vu des blessures du nain, confirma ses dires à cause de la nature étrange de ses plaies. Alors, ils ramenèrent le survivant. Lors du trajet de retour, il racontait sans cesse qu’il avait vu un lieu ouvert sur le ciel, vierge de toute présence elfique et naine depuis des millénaires. Un lieu coincé entre les montagnes, où se trouvait un lac et une forêt dense. On lui demanda si c’était cette créature qui avait tué les naines. Il répondit que non. Il les avait vus dans une tour dissimulée dans l’une des parois de la montagne. Une difformité y vivait, et se repaissait de leur chair quand ils arrivèrent. Ils l’avaient alors attaqué, mais il était trop fort pour eux. Aucun de leurs coups ne l’atteignait. Alors ils fuirent, quand ils virent que des gobelinoïdes arrivaient en renfort. Mais ils arrivèrent à s’enfuir avec juste des blessures légères. Mais sur le chemin du retour, ils se trouvèrent confronter à la créature tentaculaire. Il fut le seul à y échapper. Une fois revenu sur le lieu de l’éboulement, le nain s’agita à tel point que les renforts durent reboucher le passage comme il l’avait exigé afin qu’il se calme. Puis, dans sa folie, ils leur firent jurer à tous qu’ils n’y retourneraient pas, et feraient écrouler cette artère. De même, Ils devraient garder ceci secret à tout jamais. Tous jurèrent. Pour la première fois apaisée, le nain mourut le sourire aux lèvres. Sa peur démentielle l’avait maintenu en vie pour empêcher quiconque d’y aller. Par respect pour leur ancien ami et pour faire honneur à leur race, ils obéirent aux dernières volontés du mourant, en espérant toutefois que ce secret ne porterait pas préjudice aux autres nains.
Le nain qui avait raconté cette histoire à mon informateur, venait de voir mourir le dernier nain faisant partie de la troupe des renforts. Il était le dernier à être soumis aux secrets. Il voulait que les autres mineurs nains soient au courant du danger avant qu’il ne disparaisse. C’est pour cela (et aussi avec l’aide de l’alcool) qu’il avait raconté cette histoire à un étranger humain. Car il n’avait pas l’impression de trahir le secret, et il apaisait également sa conscience. En effet, cela faisait tant d’année qu’il écoutait les rumeurs concernant les mines, de peur que la créature surgisse. Ainsi, il aspirait secrètement à ce que l’un des renforts nains trahisse le secret, ce qui lui permettrait de le soulager d’une angoisse quotidienne. Malheureusement, tous avait tenu parole.
J’accorde une grande importance à cette histoire car, comme je l’ai dit précédemment, je n’ai plus les moyens de vérifier les liens avec l’objet d’Aekold. De plus, une tour où vit une créature difforme capable de tenir en respect les orques et les gobelins montrent que ces créatures gobelinoïdes avaient tout intérêt à garder cette créature vivante. C’était peut-être un artisan. Enfin, bon comme je l’ai déjà écrit, à ce jour, c’est le seul indice que j’ai. »
J'attends vos hypothèses.
Dernière édition par Jon le Mer 21 Mai 2014 - 9:10, édité 1 fois